ailes brulé et fourure pouilleuse (pv morgana)

Je devais aller a noxus, paperasse administrative parait-il lié à mon statut de champion. J’ai pas tout écouté, mais c’est ce que j’ai compris des ordres qui venaient de mon mécène. Perso, je n’en avais pas grand-chose à faire mais c’est lui qui dirige le projet de recherche. Donc il fallait que je le fasse.
C’est a contrecœur que je fis le voyage qui m’amena devant le bâtiment où je devais signer les papiers, dommage que j’arrive après la fermeture. Alors que je restai à fixer le panneau qui annoncer ‘’fermer’’. Quand une bruine commença a tomber comme pour m’annoncer que je devais partir. Pour éviter cette douche forcée, je me réfugier dans l’abri le plus logique : les égouts de la ville

Merde ! Ils sont propres. Je ne m’attendais pas a ça. Je ne m’attendais pas à trouver le florilège de moisissure de zaune, mais là, j’était dessus le courant centrale n’était même pas nocif, une odeur de produit désinfectant se dégager même des quelqu bonne senteur. C’est donc à contrecœur que je cherchais un endroit que je pourrais aménager pour passer la nuit.

Au bout d’une demi-heure de déambulation je finis par trouver une alcôve ou me loger pour la nuit. Maintenant, il faut manger. Je réussis tant bien que mal a soulever la plaque pour sortir dehors en quête d’un déjeuner. Mon choix se porte sur une poubelle dont l’odeur promettait une pièce de viande de choix : au moins 2 semaines !

Le repas fut copieux, quoique pas très goûtu : les légumes étaient encore trop frais mais avec mon fromage que j’avais emporté ça passer tout seul entre deux tranches de pain moisi… Alors que je sortais de la benne une odeur étonnante assaillit mes narines : c’était une odeur qui semblait venir d’ailleurs, ancienne et puissante, emprunt de malfaisance.

Ma curiosité et sûrement mon plus grand défaut, il fallait que j’en trouve la source. La trace m’emmena vite à trouver une femme, qui portait deux ailes noircies, il fallait que j’en sache plus, c’était presque viscéral. Mais tout d’abord je la suis discrètement ne sachant comment l’aborder, quelqu chose se dégager d’elle, c’était imperceptible, mais ça me mettait mal à l’aise, comme si le mal était enraciné en elle. Espérons que soit qu’un bête instinct animal et que ça ne soit pas une folle furieuse