canne de bois contre lance d'acier [pv Jarvan IV]

est loin le temps des marches militaires qui mène au combat des milliers d’hommes dans une glorieuse boucherie. Aujourd’hui c’est tous juste si on peut se déplacer à cent, et sans étendard ni fanfare, triste absence d’artillerie ennuie mortelle sans les puissantes invocations qui fendent la terre et les corps. Soixante-quinze fantassins armés d’épée et ache et une douzaine d’archers et autant d’arbalétrier voilà tout ce qu’il est acceptable de mobiliser sans attirer l’ire de l’institut de la guerre…

Nous sommes dans une plaine peu boisée, les collines et les arbres limite la vision ainsi que la porter des archer, sauf si l’on prend l’attention d’êtres toujours un peu en hauteur, ainsi même si une force de défense démacienne oser venir nous arrêter dans notre reconnaissance nous pourrions largement lutter a deux hommes pour un. Sauf moi, je peux aisément en tuer une centaine sans puiser dans ma réservé. Le problème et que demacia inclue souvent de puissant héros a la tête de ces détachements, même défensif. Une habitude qui risque de ce retourner contre eux, car ces pour cela que je mène ce corps expéditionnaire, tué leur meilleur élément en minimisant les pertes, outre l’intérêt tactique direct de cette méthode l’impact moral et important. Bien sûr si cela fait des émules, et ça ne manquera pas d’en faire, la justification sera sensiblement la même que nos némesis pour justifier leur escapade invasive : nous voulions simplement entraîner nos troupes en dehors du terrain habituel et nous avons été attaqué, quel dommage…

Je fus interrompue dans mes pensées par Ragnarok, mon corbeau adoré, il me glissa a l’oreille qu’un de ces congénère repérer un éclaireur qui nous a détecté, les réjouissances vont donc bientôt commencer !

Je fais signe a mes troupes de monter en haut de la colline la plus proche, de ce mètre en formation en attendant l’arriver des ennemie, toutefois il furent déçus de l’ordre : je ne veux pas qu’il attaque les premiers , plus simples a justifier

je me tien droit mes deux mains poser sur ma canne, je regarde droit devant moi, faisant fi de toutes l'agitation des hommes, des animaux qui sentait le combat proche, le vent qui semblait déposer des louanges au bain de sang qui allait l'imprégner. je commençais a faire affluer de l'énergie en moi, ce qui ne manque pas d'attirer les charognards. Rapidement, des  nuées de corbeaux vole au-dessus de ce qui ne tardera pas devenir un champ de bataille. le ciel se couvre lentement de nuage gris. qu'il vienne je suis prêt.

Ces nouvelles accablantes venant de mes éclaireurs me perturbent au plus haut point. Il ne serait pas rare de tomber sur des espions, des éclaireurs ou même un petit bataillon de soldat Noxien aux frontières de notre Royaume. Mais depuis déjà quelques jours mes hommes me parlent d'une centaines de soldat venant de Noxus et sous le commandement de Swain lui-même. J'ignore ce qu'il peut bien manigancer, mais je le découvrirais bien. Alors que je me tenais sous la tente de commandement, à réfléchir et à m'imaginer ce que pouvait bien manigancer ce sournois mage, un des soldats entra dans la tente pour me prévenir que nos éclaireurs étaient revenus avec des nouvelles concernant l'armée ennemis.

« Merci bien Conrad, faites les entrer je vous pris. » Déclarais-je d'un ton autoritaire.

Il s'en alla et fit entrer les deux éclaireurs que j'avais envoyé en reconnaissance, qui mirent un genou à terre quand ils firent face à moi. Je connaissais parfaitement ces deux soldats, ils font partis de mes plus fidèles compagnons d'armes. Je leur fis signe de la main pour leur dire qu'ils pouvaient se relever et porta mon regard sur Irvin, le plus âgé des deux. Il me fit son rapport et m'informa de tout ce qu'il pouvait me dire sur l'emplacement de ces soldats, de leurs nombres exact, puis il confirma ce que ces précédents camarades me firent part : la présence de Swain Jericho.

« Je vois.. je vous remercie pour votre excellent travail. Garett, Irvin, allez voir Joss et dites lui que vous venez de ma part. Qu'il vous donne de quoi vous revigorer et reposez-vous. Nous ne devrions plus tarder à aller à la rencontre de ces scélérats. »

Ils firent un dernier signe de respect et de remercie envers moi avant de quitter la tente, me laissant seul face à mes songes. Comme je le craignais, Swain risque d'être un adversaire de taille, il est très doué comme tacticien, et pour preuve il a prit un avantage considérable sur le terrain. Placer là où il est avec ces hommes une attaque frontale causerait d'importante perte. Mais, grâce à Garett et Irvin je sais qu'il ne compte pas plus d'une douzaine d'archers, contrairement à nous qui en avons une cinquantaine. J'ai passé un bout de temps, à observer la carte et à réfléchir à toute les possibilités, optant pour les solutions causant le moins de pertes humaines.

« Je pense avoir compris son petit stratagème. Ce vieux renard.. » J'eus un léger sourire au coin des lèvres, puis je pris mon casque pour me le mettre sur la tête et saisit ma lance avant de sortir de ma tente. « Soldat préparez-vous à une éventuelle bataille. Mais quoiqu'il se passe je vous interdis d'attaquer en premier. »

Ils ne comprirent pas la raison d'un tel ordre, mais ils avaient entièrement confiance en leur prince et suivraient donc mes directives. Nous prîmes donc la route armés et préparés, prêt à faire face à l'envahisseur. Plusieurs heures de marche furent nécessaire pour arriver à l'endroit où un potentiel combat aurait lieu. Une nuée de corbeaux volaient en cercle tout autour, attendant sans doute telle les charognards qu'ils sont, pour démarrer un festin des restes de ceux qui tomberont au combat. Je m'avance, me tenant en première ligne et tourne mon regard au loin en direction de la silhouette se dessinant au sommet et qui ne pouvait être que Swain.

les corbeaux s'impatienter, il voulait du sang et les demacien se faisait attendre, quoi de plus frustrant pour les charognard comme pour les soldats que cette attente ou l'ennemie se fait désirer mais dans la certitude qu'il viendra. au bout de plusieurs heures d'attente la force que j'avais commencé a canalisée s'échapper quelqu peu, faisant mourir l'herbe autour de moi dans un rayon toujours plus large finissant par créer un cercle d'une centaine de mettre d'herbe jaunie.

Finalement, les corvidés commencèrent a pillaier d'excitation, leur repas arriver, il ne leur rester plus qu'a ouvrir leur coque d'acier rutilant pour se délecter de la chair démacienne. Béatrice qui avait pris son envol pour pouvoir aprècier la scènes de plus haut revint se percher sur le bâton accrocher a l'armure du tyran pour me souffler dans un mouvement du bec la présence d'un objet de convoitise, le prince jarvan!

je dois admettre que je ne m'y attendait pas, et c'est une brillante idée de ça part, le petit prince a son papa aurait donc finit par grandir? il va sans dire que tuer ou même blesser trop gravement le prince sans un motif validée par la ligue serait une déclaration de guerre. bien sûr, la légitime défense et recevable si plusieurs centaine de brave soldat preuve appuyer cette thèses. Voyons si le petit protéger de la ville de ''justice'' a aussi bien grandie en tactique qu'en maturité hin hin hin.

le dauphin a donc bien réfléchie avant de venir, il ne cherche pas l'affrontement direct, en plus il a mobilisé un certain nombre d'archers, presque à croire qu'il a enfin des notions de tactique. Mais ce n'est pas un effronté avec un belle armure dorée dans son genre qui va me faire peur. j'attends de lui faire face le regard froid et dure dans l'armure dite du tyran, celle qui sied a ma fonction de commandant des armée noxienne.
Béatrice quand a elle a préparé sa petite spécialité, l'illusion et l'effroi, un pan de la magie que je n'arrive pas encore a maîtriser, je doit l'admettre... elle dévisage le prince le regard fixe, si les évènement tourne mal, ou que le ton monte tout simplement trop son sortilège et prêt, et cela je le sais sans que l'on échange mot.